Les meilleures universités en Algérie 

L’Algérie est un pays où l’éducation supérieure occupe une place de choix, offrant des institutions de qualité pour les étudiants locaux et internationaux. Avec des universités bien établies dans plusieurs villes, telles qu’Alger, Oran et Constantine, le pays attire chaque année des milliers de jeunes désireux d’obtenir un diplôme dans des domaines variés comme les sciences, les technologies, les arts ou les sciences humaines. Dans cet article, nous vous présentons les meilleures universités d’Algérie, en tenant compte de critères tels que la qualité des formations, la réputation académique et les opportunités offertes aux étudiants. Que vous soyez un étudiant ou un parent, cet aperçu vous aidera à mieux connaître les établissements qui font la fierté du pays.

Pourquoi ce classement est-il important ?

Les meilleures universités en Algérie jouent un rôle essentiel dans l’orientation des futurs étudiants, aidant les lycéens et leurs parents à faire des choix éclairés pour leur avenir académique. Grâce à un aperçu des établissements les plus réputés du pays, cet article permet aux jeunes de découvrir des parcours variés et de se projeter dans des études qui répondent à leurs aspirations professionnelles, tout en se familiarisant avec le système universitaire algérien.

En évaluant les meilleures universités en Algérie, nous offrons une vue d’ensemble de la qualité de l’enseignement supérieur dans le pays. Cette mise en lumière encourage la promotion de l’excellence et incite à une saine compétition entre les établissements. En valorisant ces pôles d’éducation, nous contribuons au développement continu du système éducatif et à l’amélioration des formations offertes aux étudiants, futurs bâtisseurs de l’Algérie de demain.

1. Université Kasdi Merbah de Ouargla

Elle a été créée par le décret n° 65-88 du 22 mars 1988. 65-88 du 22 mars 1988, la dénomination « École normale supérieure » est devenue « Centre universitaire de Ouargla » en 1997. En 2005, le centre a été rebaptisé Université Kasdi Merbah, du nom d’un ancien premier ministre algérien assassiné pendant la guerre civile.

L’université Kasdi Merbah compte 6 facultés :

  • Faculté des sciences et de la technologie et des sciences de la matière
  • Faculté des sciences de la nature et de la vie et sciences de la terre et de l’univers
  • Faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion
  • Faculté de droit et des sciences politiques
  • Faculté des lettres et des langues
  • Faculté des sciences humaines et sociales

2. Université Mohamed Khider de Biskra

L’Université Mohamed Khider de Biskra a pour origine les instituts nationaux supérieurs créés entre 1984 et 1992. Ceux-ci ont été regroupés en 1992 pour former le Centre Universitaire, qui a pris le statut d’université en 1998.

Cette université (www.univ-biskra.dz) comprend trois campus. Elle accueille environ 31 000 étudiants, 1 373 enseignants, 200 professeurs, 345 maîtres de conférences ainsi que 353 maîtres assistants. Elle est composée de 6 facultés et d’un institut, de 23 départements d’enseignement et de 33 laboratoires de recherche. De plus, 36 laboratoires d’enseignement sont répartis entre deux facultés : la faculté des sciences et de la technologie et la faculté des sciences exactes et des sciences de la nature et de la vie.

3. Université Abou Bekr Belkaid de Tlemcen

L’université Abou Bekr Belkaid est située à Tlemcen, en Algérie. Fondée par décret en 1989, cette université compte huit facultés réparties sur le territoire de la wilaya de Tlemcen. Au cours de l’année 2022, le ministère algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a classé l’université au 3e rang du classement national des universités.

Durant la période de 1974 à 1980, un centre universitaire a initialement dispensé le système d’enseignement supérieur, se concentrant uniquement sur les matières de base des sciences exactes et de la biologie. Par la suite, cet enseignement s’est étendu à de nouveaux domaines. En juin 1984, apparaissent les premières promotions de sciences humaines en langue nationale ; en août 1984, la création des instituts nationaux d’enseignement supérieur et de nouvelles filières. Un décret n°89-138 du 1er août 1989 a créé l’université, modifié et complété par le décret exécutif n°95-205 du 5 août 1995, puis modifié par le décret exécutif n°98-391 du 2 décembre 1998.

L’université Abou Bekr Belkaid comprend 8 facultés

  • Faculté des sciences
  • Faculté de technologie
  • Faculté de droit et des sciences politiques
  • Faculté des lettres et des langues
  • Faculté des sciences de la nature et de la vie et sciences de la terre et de l’univers
  • Faculté de médecine Dr Benzerdjeb Benaouda
  • Faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion
  • Faculté des sciences humaines et sociales

4. Université Abderrahmane Mira, Béjaia

Créée en octobre 1983, l’Université de Béjaïa est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. L’université regroupe huit facultés réparties sur deux campus, Targa Ouzemour et Aboudaou, avec une future extension prévue vers le nouveau campus d’El Kseur.

En plus de ses missions statutaires, l’Université de Béjaïa s’ouvre à son environnement extérieur grâce à ses structures d’interface et à ses nombreux accords de coopération. Au total, l’Université a signé 81 accords de coopération nationaux et 98 accords internationaux, et elle participe régulièrement à des projets de recherche bilatéraux et multilatéraux. Pour la mobilité et le renforcement des capacités institutionnelles, le pays participe à plusieurs programmes européens tels qu’Erasmus +. Dans les classements des organismes internationaux « Scimago » et « Times Higher Education », l’Université de Béjaïa est une université leader au niveau national, se classant première parmi les universités algériennes depuis 2018.

L’Université Abderrahmane Mira de Béjaïa comprend 8 facultés :

  • Faculté des Sciences Exactes
  • Faculté de Technologie
  • Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie
  • Faculté de Droit et des Sciences Politiques
  • Faculté des Lettres et des Langues
  • Faculté des Sciences Économiques, Sciences Commerciales et Sciences de gestion
  • Faculté de Médecine
  • Faculté des Sciences Humaines et Sociales.

5. Université Frères Mentouri de Constantine 1

Après l’indépendance en 1962, Constantine offrait un enseignement supérieur dans un certain nombre de spécialités spécifiques, telles que les lettres et les langues, les sciences juridiques, les sciences exactes, la médecine et la pharmacie. Cependant, la volonté des pouvoirs publics a permis de lancer le gigantesque chantier de l’Université de Constantine selon les plans du célèbre architecte brésilien Oscar NIEMEYER.

Depuis 1961, on trouve à Constantine un centre universitaire d’études littéraires et juridiques, ainsi qu’une école nationale mixte de médecine et de pharmacie, rattachée à l’université d’Alger. et juridiques, et une école nationale mixte de médecine et de pharmacie, rattachée à l’université d’Alger. Dans le cadre de la réforme de l’enseignement supérieur, ce centre a été transformé en université par l’ordonnance n° 69-54 du 17 juin 1969. 69-54 du 17 juin 1969, avec cinq facultés : lettres, droit et sciences économiques, sciences exactes, sciences biologiques et médecine.

Depuis cette époque, l’université de Constantine a connu un développement progressif dans tous les domaines (systèmes d’enseignement, structure, etc.). En 1975, les cinq facultés ont fait place à un grand nombre de structures d’enseignement appelées « instituts ». Le statut type de l’Université, promulgué par le décret n°. 83-544 du 23 septembre 1983, a également adopté le système des instituts. Le décret n°. 84-213 du 18 août 1984 détermine la liste des unités d’enseignement de l’université de Constantine à 15 instituts. Aujourd’hui, le nombre a atteint 22, sans compter l’Institut national d’enseignement supérieur en sciences médicales, qui a acquis son autonomie en janvier 1985.

L’université est un établissement public à caractère administratif doté de la personnalité morale d’une autonomie financière. Elle est placée sous la tutelle du ministre de l’Enseignement supérieur. Au 31 décembre 1995, le nombre total d’étudiants, toutes disciplines confondues, était de 21.200.

6. Université Ferhat Abbas Sétif 1

Fondée en 1978 dans un esprit d’innovation et dans un souci constant d’excellence, l’Université Ferhat Abbas Sétif 1 fait figure, au fil des années, non seulement d’acteur majeur, mais aussi de moteur incontournable du développement de la région.

Fortement ouverte sur son environnement socio-économique et pôle scientifique et technologique, l’UFAS1 s’est toujours inscrite dans une vision claire et globale.

Créée en 1978 en tant que centre universitaire, l’Université de Sétif a acquis son statut actuel en 1985. Elle est composée de plusieurs instituts et de plusieurs départements, dont certains sont enseignés en français. En mars 1993, elle comptait 12 692 étudiants.

L’Université de Sétif 1 – Ferhat Abbas est divisée en 5 facultés et 2 Instituts.

  • La faculté de médecine
  • Faculté de technologie 
  • Faculté de sciences
  • Faculté des sciences économiques, commerciales et de gestion 
  • Faculté des sciences naturelles et de la vie
  • Institut d’architecture et des sciences de la terre
  • Institut d’optique et de mécanique de précision Mécanique de précision 

7. Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène

En 1974, l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene d’Alger a vu le jour. L’ordonnance n° 74-50 du 25 avril 1974 a officiellement créé l’Université des sciences et technologies d’Alger (USTA), qui a été rebaptisée Université des sciences et technologies Houari-Boumédiène (USTHB) en 1980. Elle inclut l’École nationale polytechnique et redevient autonome en 1983. Le décret n° 77-93 du 20 juin 1977 (JORADP n° 51 du 26.06.1977) a créé le Centre universitaire de Tizi-Ouzou, qui est rattaché à l’Université d’Alger.

8. Mohamed Boudiaf University, M’sila

Le Med. BOUDIAF de M’Sila, fondé en 1985, est un établissement public pluridisciplinaire. Elle accueille aujourd’hui plus de 36 000 étudiants, 1 500 enseignants et 1 265 personnels techniques et administratifs. Cette institution promeut la recherche scientifique en harmonie avec les défis de la mondialisation. Bénéficiant actuellement de 36 laboratoires de recherche, elle est aussi à l’écoute des besoins de ses partenaires socio-économiques. 2016 Statistiques : 33500

L’université de M’Sila est composée de 7 facultés et de 2 instituts

  • Faculté des sciences
  • Faculté des mathématiques et d’informatique
  • Faculté de technologie
  • Faculté des sciences économiques et de gestion
  • Faculté des lettres et des langues
  • Faculté de droit et des sciences politiques
  • Faculté des sciences humaines et sociales
  • Institut de Gestion des Techniques Urbaines (GTU)
  • Institut des STAPS

9. Université Hassiba Ben Bouali, Chlef

La Faculté de Technologie de Chlef est un département de formation et de recherche de l’Université Hassiba Benbouali de Chlef. Sa création remonte à 2011, après la séparation de la Faculté des Sciences et des Sciences de l’Ingénieur.

Il est situé à Hay Salam au centre ville de Chlef. Le doyen actuel est le Dr. Abdi Benabellah.

La Faculté de technologie comprend actuellement 5 départements

  • Le département de génie des procédés,
  • Le département de génie mécanique,
  • Le département d’électrotechnique, situé au pôle universitaire d’Ouled Fares,
  • Le département d’électronique, situé au pôle universitaire d’Ouled Fares,
  • Le département du tronc commun en sciences et technologies.

10. Université Mouloud Maameri, Tizi Ouzou

Le décret n° 77-93 du 20 juin 1977 (JORADP n° 51 du 26.06.1977) a créé le Centre universitaire de Tizi-Ouzou, qui est rattaché à l’Université d’Alger. Depuis 1989, le Centre universitaire de Tizi-Ouzou fait figure d’université à part entière (décret n° 89-139 du 1er août 1989).

Celle-ci a été dotée, depuis sa création, la personnalité juridique et, par conséquent, une autonomie financière. Certes, pendant plusieurs mois avant son ouverture, le Centre a bénéficié d’une avance accordée par le Centre des Œuvres universitaires et scolaires (COUS) d’Alger, en attendant l’attribution des crédits budgétaires nécessaires à son fonctionnement et l’agrément par le ministère des Finances d’un agent comptable chargé de la gestion de ces crédits.

11. Université Abdelhamid Ibn Badis, Mostaganem

L’Université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem, fondée en 1978 en Algérie, a d’abord été établie en tant qu’Institut de technologie agricole (ITA) en 1970. Elle comprend 10 sites universitaires répartis dans la ville de Mostaganem.

En 2016, elle est classée 115e par U.S. News & World Report dans le classement régional des universités arabes.

Facultés et Instituts et Écoles

  • Faculté des sciences exactes et informatique (FSEI)
  • Faculté des sciences de la nature et de la vie (FSNV)
  • Faculté des sciences et de la technologie (FST)
  • Faculté des lettres arabes et des arts (FLAA)
  • Faculté des lettres étrangères (FLE)
  • Faculté de droit et des sciences politiques (FDSP)
  • Faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion (FSECSG)
  • Faculté des sciences sociales (FSS)
  • Institut d’éducation physique et sportive (IEPS)
  • Faculté de médecine (FMUM)
  • École nationale supérieure agronomique de Mostaganem (ENSAM)

12. Université Benyoucef Benkhedda, Alger 1

Créée officiellement en 1909, l’Université d’Alger trouve son origine dans l’Ecole de Médecine et de Pharmacie créée dès 1859. En 1971, le gouvernement définit les principes généraux de la réforme de l’enseignement supérieur et met en place de nouvelles institutions. Dès 1974-75, il instaure également une politique de décentralisation universitaire.

La fondation officielle de l’Université d’Alger date de 1909. En 1859, l’État a créé l’École de Médecine et de Pharmacie. À partir de 1971, les autorités définissent les principes généraux de la réforme de l’enseignement supérieur et mettent en place de nouveaux établissements. Parallèlement, une politique de décentralisation universitaire se met en place à partir de 1974-75.

A partir de 1981, l’Université d’Alger comprend 11 instituts et accueille plus de 10 000 étudiants.plus de 10 000 étudiants. Elle relève du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le nombre d’étudiants de l’Université d’Alger s’élevait à 32 000 en 1991. Aujourd’hui, le ministère de l’Éducation nationale supervise cette université.

13. Université Ahmed Ben Bella, Oran 1

Le 20 décembre 1967, le décret n°67 – 278 a transformé le Centre Universitaire d’Oran en Université d’Oran. En 2004, l’Université d’Oran a restructuré ses programmes pour former huit facultés et un institut, conformément au décret exécutif n°04 – 243 du 29 août 2004. Ensuite, le 28 septembre 2014, le décret 14-262 a scindé l’Université d’Oran en deux, donnant naissance à l’Université Oran 1 Ahmed Ben Bella.

En 1961, le Centre Universitaire d’Oran est créé et rattaché à l’Université d’Alger. La création de l’Université d’Oran Es-Senia date du 19 mars 1966. Au sein de l’Université d’Oran, les deux langues utilisées sont l’arabe et le français. Au cycle de graduation, les enseignants dispensent les sciences expérimentales en français, tandis que les sciences sociales et humaines sont enseignées en arabe. En revanche, au cycle doctoral, tous les cours sont donnés en français. 90% de la recherche se fait en français.

L’Université Oran 1 compte 5 facultés et 3 instituts :

  • L’Institut de Traduction (IT)
  • L’Institut des Sciences et Techniques Appliquées (ISTA)
  • L’institut de criminologie
  • La Faculté des Sciences Exactes et Appliquées (FSEA)
  • La Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie (FSNV)
  • La Faculté de Médecine (FM)
  • La Faculté des Lettres, des Arts (FLA)
  • La Faculté des Sciences Humaines et Sciences Islamiques (FSHSI)

14. Université Tahar Moulay, Saida

L’Université de Saïda existe en 2009 sous sa forme actuelle. Elle était à l’origine une Ecole Normale Supérieure (ENS), créée en 1986 dans le cadre des besoins du secteur de l’éducation nationale dans les régions de l’ouest et du sud-ouest de l’Algérie. A cette époque, elle a formé plus de 2 000 enseignants du secondaire.

Grâce à sa position stratégique dans les Hauts Plateaux de l’Ouest, à 153 km d’Oran, 100 km de Sidi Bel Abbes et 170 km de Tiaret, la ville de Saïda a vu son École normale supérieure transformée en centre universitaire en 1998, afin de répondre aux besoins croissants en enseignement supérieur et d’accueillir le nombre grandissant d’étudiants de la région. Cette transformation a permis au secteur de l’enseignement supérieur d’ouvrir d’autres filières que les sciences de base initialement proposées par l’ENS, comme les humanités, les lettres et les langues étrangères, ainsi que les sciences juridiques et administratives, ou encore les sciences politiques et les sciences économiques et commerciales.

Les 6 facultés composent l’Université Molay Tahar de Saïda.

  • Faculté des sciences ;
  • Faculté de technologies ;
  • Faculté des sciences économiques, des sciences commerciales et des sciences de gestion ;
  • Faculté des sciences sociales et humaines ;
  • Faculté de droit et des sciences politiques ;
  • Faculté des lettres et langues et des arts.

15. Université Badji Mokhtar, Annaba

Cette université, héritière des locaux de l’Institut des Mines et Métallurgie d’Annaba, a été créée en 1975. Elle dispose d’une infrastructure couvrant 4 centres universitaires : Sidi Ammar, Sidi Achour, El Bouni et Annaba-Centre.

Le décret 75/28 du 29 avril 1975 a créé l’Université Badji Mokhtar Annaba (UBMA) en tant qu’établissement public d’enseignement supérieur et de recherche scientifique. On y trouve 07 facultés. UBMA est un pôle de compétitivité en sciences et technologies, avec un accent croissant sur les sciences humaines et sociales. L’UBMA a plus de 42 000 étudiants encadrés au sein de 41 départements et 89 laboratoires de recherche par plus de 4 000 enseignants.

16. Université Echahid Hamma Lakhdar d’El Oued

Le décret exécutif n°12/243, daté du 14 Rajab 1433, correspondant au 4 juin 2012, a officiellement fondé l’Université d’El Oued. Cet établissement d’enseignement supérieur est relativement récent dans le paysage universitaire algérien, mais il a connu une croissance rapide depuis sa création. L’université accueille aujourd’hui environ 20 000 étudiants, répartis dans plusieurs facultés couvrant un large éventail de disciplines. Grâce à ses infrastructures modernes et à ses programmes académiques diversifiés, l’Université d’El Oued contribue de manière significative à l’éducation et à la recherche dans la région du sud-est de l’Algérie.

17. Université des sciences et de la technologie d’Oran Mohamed Boudiaf

Un grand nombre de caractéristiques des universités du monde entier sont communes à l’USTO-MB. Elle constitue l’une des principales institutions algériennes d’enseignement et de recherche technologiques. L’administration et les facultés contribuent à son développement et à sa réussite, tant au niveau national qu’international.

L’architecte japonais Kenzo Tange a conçu le bâtiment de l’Université des Sciences et de la Technologie d’Oran « Mohamed Boudiaf » (USTO-MB), fondé en 1971. L’USTO-MB est implantée sur deux sites : l’IGCMO et le campus principal de Bir El Djir. Elle comptait environ 8 408 étudiants en novembre 1994.

L’université comprend 7 facultés et 2 instituts

  • Faculté des Mathématiques et Informatique
  • Faculté de Physique
  • Faculté des sciences de la nature et de la vie
  • Institut des sciences et techniques appliquées
  • Institut d’éducation physique et de sport
  • Faculté de chimie
  • Faculté de génie électrique
  • Faculté de génie mécanique
  • Faculté d’architecture et génie civil

18. Université de M’hamed Bouguerra, Boumerdes

La création de l’Université M’hamed Bougara de Boumerdès a été décidée en 1998 par le décret exécutif n° 98-189 du 2 juin 1998. 98-189 du 2 juin 1998 portant sur la fusion de six (6) instituts nationaux dont la création remonte aux années 60, 70 et 80 : Institut National des Hydrocarbures, Institut National de Génie Électrique et Électronique, Institut National de Génie Mécanique, Institut National des Matériaux de Construction, Institut National des Industries Manufacturières et Institut National des Industries Alimentaires. Fondée en 1998

L’université comprend 5 facultés et un institut

  • Faculté des Sciences 
  • Faculté des Sciences de l’Ingénieur 
  • Faculté des Hydrocarbures et de la Chimie 
  • Faculté de Droit 
  • Faculté des Sciences Économiques, Commerciales et des Sciences de Gestion. 
  • Institut de Génie Électrique et Électronique.

19. Université Larbi Tebessi de Tébessa

Les origines de l’Université Larbi Tebessi remontent à la création d’un institut national d’enseignement supérieur des mines à Tébessa en 1985, suivi de deux instituts d’enseignement supérieur des sciences de la terre et du génie civil en 1988. Avec ces trois composantes, la ville de Tébessa est devenue l’Institut National d’Enseignement Supérieur (INES Tébessa), puis le Centre Universitaire « cheikh Larbi Tebessi » de Tébessa en 1992. L’établissement a pris la nomenclature officielle d’université en 2009.

A Tébessa, le premier noyau de l’enseignement supérieur remonte à 1985, date de la création d’un institut national d’enseignement supérieur des mines par le décret exécutif n° 85-185 du 16 juillet 1985. 85-185 du 16 juillet 1985. Trois ans plus tard, deux instituts d’enseignement supérieur ont ouvert leurs portes, dont l’un en sciences de la terre, créé par le décret exécutif n°88-181 du 27 septembre 1988, établissant l’institut national d’enseignement supérieur des mines. 88-181 du 27 septembre 1988, et l’autre en génie civil par le décret exécutif n° 88-184 du 27 septembre 1988. 88-184 du 27 septembre 1988.

La création de ces trois composantes a donné naissance à l’Institut National d’Enseignement Supérieur (INES Tébessa), qui a participé par la suite à la création du centre universitaire « Cheikh Larbi Tebessi » à Tébessa, dans le cadre de l’opération de restructuration régie par le décret exécutif n° 92-297 du 27 septembre 1992, qui a permis la création d’un centre d’enseignement supérieur à Tébessa. 92-297 du 27 septembre 1992.

En 2006, le ministère algérien de l’enseignement supérieur a lancé un nouveau plan de restructuration, en application du décret exécutif n° 06-272 du 16 août 2006, qui prévoit la création d’un centre d’enseignement supérieur à Tébessa. 06-272 du 16 août 2006 relatif à la promotion des centres universitaires, a permis au centre de Tébessa de connaître une nouvelle réorganisation des services administratifs et une répartition des instituts et départements. Après trois ans, cette réorganisation a ouvert la voie à la nomenclature officielle de l’université à partir de 2009, en vertu du décret exécutif n°09-08 du 4 janvier 2009. 09-08 du 4 janvier 2009.

20. Université Hadj Lakhder de Batna 1

En 1990, elle devient une entité universitaire autonome, suite à la dissolution des instituts d’enseignement supérieur qui formaient le Centre universitaire de Batna, fondé en 1977. Elle a pris le nom d’Université Batna 1 en juillet 2015.

L’Université de Batna a été créée par décret le 1er août 1989 et est devenue une entité universitaire autonome le 1er janvier 1990, suite à la dissolution des instituts d’enseignement supérieur qui composaient le Centre universitaire de Batna, fondé le 1er septembre 1977. En octobre 1996, l’Université accueillait 13 334 étudiants.

Les facultés sont :

  • Faculté des sciences et technologies
  • Faculté des sciences
  • Faculté de droit et des sciences politiques
  • Faculté des sciences économiques 
  • Faculté de gestion et des sciences commerciales
  • Faculté de Médecine 
  • Faculté des lettres et langues
  • Faculté des sciences humaines et sociales et des sciences islamiques (lieu mosquée du 1er novembre)

21. Université de Skikda 20 août 1955

L’Université 20 août 1955 de Skikda a été créée en 2001 en transformant le Centre universitaire, établi en 1998, qui était lui-même issu de l’ENSET fondée en 1987. Pour répondre aux besoins du secteur socioéconomique, l’Université 20 août 1955 de Skikda couvre la formation dans les trois paliers du LMD. Elle assure également la recherche fondamentale et recherche développement via 14 laboratoires agréés par la direction générale de la recherche.

22. Université Djillali Liabès de Sidi-Bel-Abbès

Le Centre Universitaire Djillali Liabés a été fondé en 1978 dans le cadre du développement de l’enseignement supérieur en Algérie. À ses débuts, il fonctionnait comme un centre universitaire avec des missions d’enseignement et de formation dans plusieurs disciplines. Ce centre avait pour objectif principal de répondre à la demande croissante en matière d’éducation supérieure dans la région de Sidi Bel Abbès et de contribuer au développement socio-économique du pays.

En 1989, après plus d’une décennie d’activités académiques et de recherche, le centre universitaire a franchi une étape majeure en obtenant le statut d’université à part entière. Cette promotion a permis à l’institution de diversifier ses programmes, d’élargir son offre de formation et de développer ses activités de recherche. Elle a également renforcé sa capacité à accueillir un nombre croissant d’étudiants et à former des diplômés dans des domaines variés.

L’université porte aujourd’hui le nom d’Université Djillali Liabès, en hommage à un intellectuel et homme de science algérien, symbole du savoir et de la recherche. Depuis son accession au statut d’université, elle a acquis une reconnaissance nationale et internationale grâce à ses programmes d’enseignement de qualité, ses centres de recherche et ses partenariats académiques avec d’autres institutions.

23. Université Larbi Ben Mhidi de Oum El Bouaghi

L’université d’Oum El Bouaghi, dont la création officielle remonte au 7 mai 1983, a connu plusieurs évolutions structurelles au fil des années. Initialement établie avec une configuration modeste, l’institution a progressivement élargi son offre académique et ses infrastructures pour répondre aux besoins croissants des étudiants et des chercheurs.

Une première étape importante dans ce processus d’expansion est survenue le 4 janvier 2009, lorsque le décret exécutif n°09/06 a officiellement entériné la création de l’université d’Oum El Bouaghi. À cette époque, l’établissement comptait cinq facultés et un institut, offrant une large gamme de programmes d’enseignement et de recherche.

Face à l’augmentation du nombre d’étudiants et à la nécessité de diversifier les programmes offerts, les autorités ont mis en œuvre une restructuration par le décret exécutif n°13-164 du 15 avril 2013. Ce décret est venu modifier et compléter les dispositions du précédent décret de 2009, étendant le nombre de facultés à sept et celui des instituts à trois. Cette réforme visait à renforcer les capacités de l’université et à offrir une formation plus spécialisée et plus adaptée aux exigences du marché du travail et des progrès scientifiques.

24. Université Ziane Achour de Djelfa

Le Centre universitaire de Djelfa, fondé en 2000, a connu une évolution significative au fil des années. Initialement créé pour répondre aux besoins éducatifs croissants de la région, il s’est progressivement imposé comme un pôle académique de référence. En 2009, cet établissement a franchi une étape importante dans son développement en changeant de statut pour devenir l’Université de Djelfa. Ce nouveau statut a marqué un tournant dans l’histoire de l’institution, lui permettant d’élargir son offre de formations, d’intensifier ses activités de recherche et de renforcer ses partenariats académiques, tant au niveau national qu’international.

25. Université 8 Mai 1945 Guelma

En 2001, l’Université de Guelma a été fondée, succédant au Centre universitaire de Guelma, créé en 1992. À ses débuts, l’université comptait seulement trois facultés, offrant des programmes dans des disciplines limitées. Cependant, au fil des années, l’institution a connu une expansion rapide tant au niveau académique qu’administratif. En 2012, elle a considérablement élargi ses offres de formation, passant à un total de sept facultés.

Ces facultés regroupent désormais 27 départements couvrant un large éventail de domaines d’études. De plus, l’université s’est dotée de quatre Vice-rectorats, chacun responsable de fonctions spécifiques telles que la recherche scientifique, les relations extérieures, la formation supérieure, et la pédagogie, assurant ainsi une gestion efficace de l’institution et un soutien optimal aux étudiants et enseignants. Cette croissance témoigne de l’engagement de l’Université de Guelma à offrir une éducation de qualité et à s’adapter aux besoins en constante évolution du monde académique et professionnel.

L’université 8 mai 1945 Guelma comporte sept facultés

  • Faculté des sciences et de la technologie
  • Faculté des mathématiques, de l’informatique et des sciences de la matière,
  • Faculté des sciences économiques et commerciales,
  • Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie et Sciences de la Terre et de l’Univers (SNVSTU),
  • Faculté de droit et des sciences politiques,
  • Faculté des lettres et des langues,
  • Faculté sciences humaines et sociales.

26. École Nationale Supérieure d’Informatique

Dans le cadre de son activité, l’École Nationale Supérieure d’Informatique pour l’Industrie et l’Entreprise (ENSIIE) est une école publique d’ingénieurs. L’ENSIIE appartient à la Conférence des Grandes Écoles (CGE) en France, et son directeur est membre de la Conférence des Directeurs d’Écoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI) en France. L’ENSIIE a été fondée en 1968 sous le nom d’Institut d’Informatique d’Entreprise du CNAM. Aujourd’hui, l’ENSIIE est un Établissement Public Administratif (EPA) sous la tutelle du Ministère français de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, et forme environ 180 ingénieurs informaticiens par an.

27. Université de Saad Dahlab, Blida

L’université Saad Dahlab de Blida a ouvert ses portes en 1981 sous la forme d’un centre universitaire regroupant plusieurs instituts. En 1989, le complexe universitaire de Blida est devenu une université. Créé le 20 juin 1977 par le décret présidentiel n° 77-92, le Centre Universitaire de Blida a ouvert ses portes le 1er juin 1977. 77-92, le Centre Universitaire de Blida a accueilli les étudiants quatre ans plus tard, le 8 septembre 1981. En août 1989, le Centre Universitaire de BLIDA a connu un changement de statut de Centre Universitaire à Université, conformément au décret exécutif nᵒ 89-137 du 1ᵉʳ août 1980, portant création de l’Université de Blida. La dénomination de l’université a été changée en Blida1 par le décret exécutif n. 13-162 du 15 avril 2013.

28. Université Mohamed-Chérif Messaadia, Souk Ahras

En 1998, l’Université Badji Mokhtar Annaba a créé le centre universitaire de Souk Ahras en tant qu’annexe. Il a accédé au statut d’université en septembre 2001. Comptant plus de 9 000 étudiants, il dispense des formations dans des domaines tels que le droit, les sciences humaines, l’économie, la gestion et les sciences et technologies. Le centre compte 8 facultés et 14 départements.

L’université se répartit sur trois campus et compte huit facultés.

  • Faculté des Sciences et Technologie
  • Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie
  • Faculté des Sciences Économiques, Commerciales et Gestion
  • Faculté de Droit et Sciences Politiques
  • Faculté des Lettres et Langues
  • Faculté des Sciences Humaines et Sociales
  • Institut des Sciences Agronomiques et Vétérinaires
  • Institut d’éducation physique et sportive
  • Faculté de médecine (2024)

29. Université Akli Mohand Oulhadj, Bouira

Entre 2001 et 2002, l’Université de Boumerdes a créé une annexe à Bouira pour répondre aux besoins croissants d’éducation supérieure dans la région. Cette annexe permettait aux étudiants locaux de suivre des formations universitaires sans devoir se déplacer loin de chez eux. Quelques années plus tard, en 2005-2006, l’annexe a connu une évolution significative en étant promue au statut de centre universitaire, renforçant ainsi son rôle dans la formation académique et la recherche. Finalement, le 6 avril 2012, ce centre universitaire a franchi une nouvelle étape importante en étant officiellement reconnu comme une université à part entière, témoignant de sa croissance et de son importance dans le paysage de l’enseignement supérieur en Algérie.

Facultés et Instituts

  • Faculté des Sciences et des Sciences Appliquées.
  • Faculté des sciences de la nature et de la vie et sciences de la terre
  • Faculté des Lettres et des Langues.
  • Faculté des sciences sociales et humaines.
  • Faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion.
  • Faculté de droit et des sciences politiques.
  • Institut des sciences et techniques des activités physiques et sportives.
  • Institut des sciences et des techniques appliquées.

30. Université Yahia Fares, Médéa

Le décret 48-89 du 11 avril 1989 a établi l’Institut National de l’Éducation Supérieure (INES) de Médéa, spécialisé en électrotechnique, en 1988. En 1999, l’INES a obtenu le statut de Centre Universitaire, officialisé par le décret 98-100 du 25 juillet 2000. En 2008, il a évolué en Université avec quatre facultés, conformément au décret 09-11 du 4 janvier 2009. Puis, en 2013, une nouvelle réorganisation a permis d’ajouter une cinquième faculté, selon le décret 13-403 du 1er décembre 2013. Enfin, en 2016, une nouvelle réorganisation a porté le nombre de facultés à six, conformément au décret 13-403 du 1er décembre 2016.

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Facteurs déterminants dans le classement des universités algériennes

On classe les universités algériennes selon plusieurs critères clés.

  • Qualité de l’enseignement : La compétence du corps professoral et la qualité des programmes académiques jouent un rôle crucial.
  • Recherche scientifique : Les publications, brevets et innovations issus des travaux de recherche des universités sont des indicateurs clés.
  • Infrastructures : La modernité des laboratoires, bibliothèques et autres équipements universitaires impacte la qualité de l’apprentissage.
  • Reconnaissance internationale : Les partenariats avec des institutions étrangères et la présence dans les classements mondiaux sont également pris en compte.

L’importance du choix d’une université en Algérie

Pour les étudiants algériens, choisir la bonne université est une étape cruciale, car cette décision influence directement leur avenir académique et professionnel. Les meilleures universités en Algérie offrent non seulement une formation solide, mais aussi des opportunités pour ceux qui souhaitent poursuivre leurs études à l’international ou s’engager dans des programmes de recherche avancés.

En conclusion ; Les meilleures universités en Algérie, comme l’USTHB, Béjaïa, Tlemcen, Constantine et Oran, forment un réseau universitaire en pleine croissance, de plus en plus reconnu pour la qualité de son enseignement. Ces institutions offrent aux étudiants des environnements d’apprentissage stimulants, favorisant l’innovation et la recherche. Pour les lycéens qui envisagent de poursuivre leurs études, il est important de bien choisir une université qui répond à leurs objectifs académiques et professionnels.

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